Aurélie Bauer
PORTFOLIO
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La Grande Illusion
Aurèlie Bauer

La Grande Illusion
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F.Boisrond
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La Seyne sur Mer
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Les Beaux-Arts De Paris
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F.Boisrond La Seyne sur Mer
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Pas de Printemps pour Marnie
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Pas de Printemps pour Marnie
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Talons Aiguilles
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La Main au Collet
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La Mort aux Trousses
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Talons Aiguilles
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La Main au Collet
Aurèlie Bauer
BIO
Aurélie Bauer est née en 1982. Elle vit et travaille à Paris.
Elle est diplômée de l'ENSBA de Paris (atelier de François Boisrond).
Expositions personnelles :
2013: Soho Art Gallery, Osaka, Japon
2012: Galerie Elizabeth Couturier, Lyon
2011: Galerie du CROUS, Paris
2010: L'Enfant Moderne Gallery, Washington DC, USA - Galerie Elizabeth Couturier, Bourgoin ("La mort aux trousses")
2009: Galerie Pierre Levy, Paris ("Fenêtre sur cour").
Expositions collectives :
2014: Affordable Art Fair, Bruxelles - Art Expo, Osaka, Japon
2013: Cutlog, Paris - Affordable Art Fairs: Bruxelles, Hambourg, Toronto, New York, Seattle et Mexico
2012: St-art, Strasbourg
2011: Ward Nasse Gallery, New York, USA - Chic Dessin, Paris
2010: Galerie DX, Bordeaux - St-art, Strasbourg - Chic Art Fair, Paris - Galerie Nathalie Gaillard, Paris ("François Boisrond présente...")
2009: Flowers Gallery, Londres ("Small is beautiful").
A PROPOS
"Mon travail met en évidence les rapports entre peinture et cinéma, à travers le cadrage, la lumière, et l’allégorie de la fenêtre ouverte sur le monde.
Je m’intéresse aux questions de peintre comme celles que se pose Antonioni dans "Blow up", en cherchant à recréer la réalité sous forme abstraite; aux questions de regards chez Hitchcock, et à la place prépondérante de la fenêtre dans la peinture.
Mon travail invite le spectateur à revivre physiquement l’atmosphère interne du film sans la notion de temps liée au cinéma.
Voir et créer, approcher la réalité et en former l'image sont des problèmes de peintre autant que de cinéma. Hitchcock fait de sa caméra l’œil du spectateur et joue sur le rôle du narrateur.
C'est le cadrage qui devient la fenêtre. Les scènes d'intimité volées du film sont autant d'écrans, de films, de tranches de vies que des tableaux.
Je me suis attachée à ne représenter que le point de vue de James Stewart, car "Fenêtre sur cour" est un film de regards, celui du réalisateur, celui du spectateur, celui du protagoniste.
James Stewart dans son fauteuil est une projection d'Alfred Hitchcock dans le sien qui dirige le film.
Selon Paul Valéry " Une œuvre d'art devrait toujours nous apprendre que nous n'avons pas vu ce que nous voyons", c'est ce que la peinture dévoile.
Beaucoup de peintres comme Degas ont emprunté à la photographie. Ma peinture vole des images cinématographiques."
Aurélie Bauer (à propos de "Fenêtre sur cour")